Les quatre principes fondamentaux de la sophrologie

Principe du schéma corporel comme réalité vécue

Pour faire simple, la pratique de la sophrologie permet de ressentir son corps, en effectuant des mouvements par exemple. On le ressent réellement, il ne s’agit pas de se le représenter ou de s’en faire une image. C’est du vécu. Au fur et à mesure des séances, nous apprenons à ressentir notre corps avec des sensations de plus en plus fines.

Principe de réalité objective

Il s’agit d’accueillir notre environnement, les personnes qui nous entourent, avec du recul, en prenant de la distance, avec bienveillance et sans jugement.
Pendant les séances, je suis toujours à l’écoute de vos ressentis, sans les juger, sans les interpréter.
Le mot “bienveillance” est très important en sophrologie, et pour moi il ne s’agit pas d’un simple mot : pendant nos échanges avant la séance, pendant vos exercices et aussi après, je reste toujours bienveillante à votre égard.
C’est un principe fondamental.

Principe d’action positive

Le positif engendre le positif, que ce soit du corps vers l’esprit ou du mental vers le corporel.
Toutes les actions que l’on considère soi-même comme positives ont une répercussion positive sur tout notre être. Cela permet de tendre vers un mieux-être, vers une amélioration de nos ressentis.
Si nous relâchons par exemple des tensions inutiles de notre corps par des stimulations corporelles, la sensation de relâchement physique va se ressentir également comme une détente de la pensée.

Principe d’adaptabilité

Le sophrologue doit savoir adapter ses méthodes aux personnes du groupe ou lors de séances individuelles. Je propose ainsi de faire les pratiques en position assise ou en position debout, selon vos capacités. Je veille toujours à ce que chacun puisse lui-même adapter un exercice en fonction de ses possibilités. Il est très important que chacun se sente toujours libre et ne force jamais un mouvement. Chacun fait comme il peut, et choisit d’adapter un exercice librement s’il le souhaite.